Les Dires de Zeta: Non Politique
Écrit le 11 octobre 2003


A la base aérienne de Schreiver (dans les Sources du Colorado), après que les chefs civils et militaires de tous les pays de l’OTAN se soient engagés dans un séminaire d’étude… l’OTAN a décidé de monter une nouvelle Force de Frappe , composée d’environ 20 000 personnes, qui puisse répondre instantanément à toute menace asymétrique. Les jeux de stratégie de mercredi, la pièce maîtresse du rassemblement de ces deux jours entre les secrétaires à la défense et les chefs d’états majors de l’OTAN étaient destinés à faire réfléchir les nations membres sur la façon de réagir en de tels cas.
L’OTAN organise des jeux de stratégie de réaction rapide
Le Washington Post du 8 octobre

Étant donné l’évidence que la Planète X est dans le coin et ne partira pas avant d’avoir semé la pagaille autour d’elle, et la décision et les actions prises en août dernier par l’armée des États Unis pour supplanter la Maison Blanche en tant que Commandant en Chef avec leur propre commandement interne, comment peut on voir la réunion des dirigeants de l’OTAN pour ces prétendus jeux de stratégie? Comme l’OTAN est une alliance de défense nord atlantique, la façade ouest du continent des États Unis n’était elle pas un endroit incongru? Et où sont les hommes politiques, viennent ils pavaner sur scène pour expliquer la situation au public? Comparez cette réunion avec celle qui s’est tenue il y a plusieurs mois en France, où les chefs d’état de tous les pays se sont rencontrés pour soit disant discuter de l’Irak et aplanir leurs divergences, représentation des pays du globe qui a rivalisé avec les réunions de l’ONU. La réunion de l’OTAN n’a pas été annoncée, alors qu’en France la réunion s’est faite en fanfare avant et après. La réunion de l’OTAN n’est pas politique, elle se réduit à une réunion d’affaires, et concerne exclusivement les bras des pays représentés impliqués dans la défense de leurs terres.

Que doit on penser de l’absence d’hommes politiques et de politique comme d’habitude, étant donné l’échec de la récente tentative de modifier la trajectoire de la Planète X avec des ogives nucléaires sous couverture de la mort de Galileo via un plongeon vers Jupiter, aussi est-ce qu’envisager des désastres sur Terre est le seul plan à faire? En France, quand la Maison Blanche faisait semble-t-il sa loi dans le monde, envahissant les pays qu’elle voulait et donc menaçant les pays qu’elle ne pouvait pas corrompre, les chefs d’état furent mis au courant qu’une planète errante était dans le système solaire, mais passerait et continuerait son chemin, donc que le point le plus important était d’empêcher que cela se sache et crée la panique dans le public. Les pressions, les ennuis, l’argent, tout ce qui se pouvait fut utilisé jusqu’à ce que tous acceptent de suivre la Maison Blanche et les pouvoirs supérieurs en la matière, aucune déclaration publique ne devant être faite avant qu’un signal parfaitement clair en soit donné. Une partie de ce plan était de changer la trajectoire de la Planète X, avec des ogives nucléaires, et le personnel arrogant de la NASA était si sur que cela marcherait que c’est dédaigneusement que des promesses furent données dans l’éventualité où ce changement de trajectoire ne marcherait pas, car on ne s’attendait pas à cela. Quand vint le temps d’honorer ces promesses, il s’ensuivit une paralysie.

Ceux qui ont de réels revenus de leurs terres le long des côtes, des commerces de détails qui risquent le pillage, qui possèdent des industries fournissant des services qui s’arrêteraient sans doute en cas de panique parmi les salariés, des institutions financières reposant sur le respect du dollar pour la survie, des richesses de papier telles les actions et obligations où dont le gagne-pain requiert que l’économie soit stable soutinrent avec force que toute annonce sur une planète baladeuse dans le voisinage serait irresponsable. Les hommes politiques, absolument pas préparés à autre chose que faire une apparition après une catastrophe locale, transférant des ressources d’un lieu à l’autre de leur région et passant pour des héros, pâlirent à la perspective de devoir se retrouver face au public sans ressources à leur allouer, et avec uniquement des demandes à honorer. En particulier, ceux qui voudraient être les rois du nouveau monde, qui orchestrent une saisie du pétrole en Irak sous le couvert de combattre le terrorisme et qui manipulent les processus électoraux en se posant continuellement en dictateur, insistèrent pour dire que déranger le public avec la vérité ne devait pas se faire.

En résumé, l’armée des États Unis, le département de la défense et leurs homologues dans les autres pays furent confrontés à un choix : permettre aux politiques et aux intérêts personnels et industriels de faire la loi, ou honorer leur serment de protéger et défendre les peuples de leurs pays respectifs.